Analyses et études 2011.
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?
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