Analyses et études 2011.

Couverture Analyses et Etudes ;Quel type d'intégration pour les primo-arrivants en Belgique?;Couverture Analyses et Etudes ;La prise en charge des détenus déficients mentaux;Couverture Etudes et Analyse ;La Banque mondiale et (manque de) volonté politique?..;

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

 

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Nous avons vraiment de la chance, dans le monde occidental, de vivre dans des démocraties qui protègent la liberté d’expression et défendent cette valeur dans le monde. Mais parfois on ne peut s’empêcher de se poser des questions.
Cet article observe le parallélisme entre deux femmes privées de liberté pour avoir exprimé des idées opposées au pouvoir : Aung San Suu Kyi et Victoire Ingabire Umuhoza. Tout le monde connaît Aung San Suu Kyi, opposante politique birmane, prix Nobel de la paix en 1991. Par contre peu de personnes connaissent Victoire Ingabire Umuhoza, que Wikipedia surnomme déjà la « Aung San Suu Kyi » rwandaise.

 

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We are really lucky, in the Western world, to live in democratic countries that protect freedom of speech and uphold this value in the world. But sometimes one cannot help but ask himself some questions.
This article looks at the parallels between two women imprisoned for expressing ideas opposing the incumbent powers: Aung San Suu Kyi and Victoire Ingabire Umuhoza. Everybody knows Aung San Suu Kyi, the Burmese opposition leader, Nobel Peace Prize in 1991. However few people know Victoire Ingabire Umuhoza who is already nicknamed “The Rwandan Aung San Suu Kyi” by Wikipedia.

 

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Une simple dépêche sur France Inter annonçant la visite d’une délégation chinoise – lors de la venue du président Hu Jintao – dans la ville de Châteauroux ce 8 novembre 2010, a de quoi interpeller. Il s’agirait d’investissements à hauteur de 500.000 millions d’euros, susceptibles de créer quelques milliers d’emplois. Mais qu’est-ce que les chinois viennent donc faire dans cette ville du centre de la France de 47.000 habitants ? Mais quelles sont leurs intentions à long terme ? Châteauroux n’est-il pas simplement un laboratoire destiné à tester les nouvelles stratégies commerciales de la Chine ?

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Couverture Analyses et Etudes ;Quel type d'intégration pour les primo-arrivants en Belgique?;Couverture Analyses et Etudes ;La prise en charge des détenus déficients mentaux;Couverture Etudes et Analyse ;La Banque mondiale et (manque de) volonté politique?..;

 

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Par sa structure, ses objectifs et sa flexibilité, le dispositif bruxellois de formation professionnelle « ISP » est capable de résoudre les problèmes de nombreux jeunes qui demandent à être formés.
Une enquête menée dans le cadre de l’année de lutte contre la pauvreté (2010) a permis de prendre conscience de certaines difficultés d’accès à ce dispositif, en raison surtout de l’insuffisance de l’offre en formations de base et du manque de complémentarité entre les formations de base et les formations professionnelles techniques.Par sa structure, ses objectifs et sa flexibilité, le dispositif bruxellois de formation professionnelle « ISP » est capable de résoudre les problèmes de nombreux jeunes qui demandent à être formés.
Une enquête menée dans le cadre de l’année de lutte contre la pauvreté (2010) a permis de prendre conscience de certaines difficultés d’accès à ce dispositif, en raison surtout de l’insuffisance de l’offre en formations de base et du manque de complémentarité entre les formations de base et les formations professionnelles techniques.

 

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Pendant que l’Europe tente d’empêcher l’entrée des réfugiés d’Afrique du Nord, et pense à fermer ses frontières, la situation est tout autre en Tunisie et en Turquie devant l’afflux des réfugiés fuyant leur pays. Ces deux témoignages révèlent des formes de solidarité comparables des populations villageoises et des réponses fort différentes des autorités.

 

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Essence d’une qualité pleinement authentique ? Décentrement mis subtilement au service d’autrui ? Fondement de l’intersubjectivité et base des comportements moraux ? L’empathie, en tout cas, nous convie à un superbe voyage

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Couverture Analyses et Etudes ;Quel type d'intégration pour les primo-arrivants en Belgique?;Couverture Analyses et Etudes ;La prise en charge des détenus déficients mentaux;Couverture Etudes et Analyse ;La Banque mondiale et (manque de) volonté politique?..;

 

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Juste prix et long terme : deux objectifs majeurs du commerce équitable. Qui fait ainsi sécession avec les us et coutumes d’un capitalisme trop souvent cynique et à courte vue. Et qui se pose ainsi en solution de rechange aux échanges commerciaux inégaux.
Alternative ? Oui. Mais alternative hétérogène. Car la multiplication des règles et des labels ne va pas sans difficultés.
De là les nombreuses questions qui se posent aujourd’hui au commerce équitable...
Avec l’importance croissante de la grande distribution, ne vend-t-il pas son âme au diable ? L’allongement de ses circuits de diffusion ne le condamne-t-il pas  à un déficit éthique ?
Produit-il  des effets sensibles sur les conditions de vie des producteurs  méridionaux ? Contribue-t-il réellement à modifier les conditions  de vie des populations défavorisées du Sud ?
Autant de problématiques qui méritent réflexion.

 

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Parti le 15 mai 2011 de la très madrilène Puerta del Sol, le mouvement spontané et apartisan des indignés, bien relayé par les réseaux sociaux, a rapidement fait tache d’huile. En Espagne tout d’abord. Puis dans le reste l’Europe. Et, de là, sur tous les autres continents.
Madrid, Barcelone, Valence, Saragosse, Murcia, Nantes, Perpignan, Bologne, Strasbourg, Poitiers, Bordeaux, Vienne, Budapest, Toulouse, Clermont, Lille, Lyon, Marseille, Liège, Gand, Berlin, Genève, Hambourg, Amsterdam, Londres, Varsovie, Stokholm, Dublin, Porto, Oslo, Tanger, Bilbao, Lima, Prague, Rabat, Sidney, Bristol, Buenos-Aires, Tokyo, Istanbul, Montréal, New-York, Los Angeles, Mexico, Tolède, Lisbonne, Séville, Zürich, Helsinki, Bergen, Algesiras, Ljubljana, Birmingham, San Sebastian, Santiago, Padova, Göteborg, Cancun, San Fransisco, Santa Cruz... : les campeurs du « Yes, we camp ! » ont essaimé un peu partout, y compris à Bruxelles. Mais ils ont tous fini par replier leurs tentes. Après quelques bonnes semaines. Et, le plus souvent, sous la contrainte des pouvoirs publics, voire des forces de l’ordre.
Privé depuis lors de plate-forme visible, le mouvement, qui souffrait déjà de l’absence de meneur(s) identifié(s), paraît s’être (provisoirement?) essoufflé. Si bien qu’il se cherche désormais un nouvel avenir. Mais lequel... ? Sous quelle forme ? Et sous quel nom ?
Gros plan sur les indignés en général.
Et sur l’épisode bruxellois en particulier...

 

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Si on analyse le système de santé actuel aux États-Unis et qu’on le compare à celui qui existe en Belgique, nous réalisons à quel point le mot « Solidarité » est important dans notre pays et à quel point il influence la structure des services qui nous entourent. Bien entendu, notre système de santé est loin d’être parfait mais lorsqu’on le compare à celui en vigueur aux États-Unis, il y a plusieurs choses qui nous interpellent. Par exemple, la notion de charité individuelle qui semble bien ancrée dans la mentalité américaine. Par contre, en ce qui concerne celle de solidarité, c’est une autre affaire !
Est-il dès lors possible de mettre en place un véritable système solidaire en matière de santé dans ce pays ? Est-il possible de changer les mentalités et d’envisager les défis auxquels devront se confronter les États-Unis dans les années à venir d’un œil nouveau ? Est-ce là la mission de Barack Obama et a-t-il des chances d’y parvenir ?

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Couverture Analyses et Etudes ;Quel type d'intégration pour les primo-arrivants en Belgique?;Couverture Analyses et Etudes ;La prise en charge des détenus déficients mentaux;Couverture Etudes et Analyse ;La Banque mondiale et (manque de) volonté politique?..;

 

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Il est 6h30 du matin dans le centre de Tunis, le quartier s’appelle Bab Djedid, « nouvelle porte », un quartier populaire, siège du club de football « Afrique » où environ 1000 électeurs sont enregistrés pour les premières élections libres depuis l’indépendance de la Tunisie en 1956.

 

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La République Démocratique du Congo connaîtra bientôt de nouvelles élections démocratiques. La commission électorale nationale indépendante, en abrégé « la CENI », organe chargé de superviser ces élections rendit public, en date du 30 mars 2011, un calendrier électoral relatif à ces élections. Ce calendrier a notamment pour point de départ la promulgation de la loi électorale révisée et la publication des mesures d’application, et pour point final, la tenue, le 28 novembre 2011, du scrutin présidentiel et législatif.
Si l’existence d’un tel calendrier peut attester du sérieux qui détermine l’ensemble du peuple congolais dans l’organisation du scrutin présidentiel et législatif du 28 novembre 2011, il n’en demeure pas moins vrai que d’une part, plusieurs critiques sont émises contre ce processus électoral, et que d’autre part, il existe des enjeux forts évidents relativement à ces élections.

 

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Depuis plusieurs années, le fonctionnement du système carcéral se situe au cœur de nombreux débats, avec pour principale remise en cause l’efficacité de la sanction qu’il propose ; une peine punitive, privative de liberté et permettant d’isoler de la société tout individu responsable d’une infraction jugée grave. Une sanction qui sans nul doute réprimande l’auteur, soulage la victime et protège la communauté. Toutefois, ne serait-il pas judicieux de se pencher sur les incidences qu’un tel châtiment peut avoir sur celui qui en fait l’objet ainsi que sur ses capacités de réinsertion ? Nous allons nous intéresser ici aux difficultés que rencontre l’individu dans les démarches de réinsertion qu’il entreprend pendant sa détention et principalement, au paradoxe qui existe entre l’investissement que cela requiert et le fonctionnement de la prison qui, par son rôle d’institution punitive, tend à l’en priver dans son quotidien.

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Couverture Analyses et Etudes ;Quel type d'intégration pour les primo-arrivants en Belgique?;Couverture Analyses et Etudes ;La prise en charge des détenus déficients mentaux;Couverture Etudes et Analyse ;La Banque mondiale et (manque de) volonté politique?..;

 

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Bien que « belge », le fonctionnement de la prison de Tilburg est davantage calqué sur le mode de fonctionnement des prisons néerlandaises que celui des autres prisons belges. Toutefois, le régime carcéral néerlandais a quelque peu été modifié pour le mettre en conformité avec la législation et la réglementation pénitentiaire belge. Dans cet article, nous aurons l’occasion de voir ce que cela donne en pratique et verrons ensemble toute l’absurdité et le surréalisme pour le gouvernement belge d’exporter « ses » détenus vers l’étranger.

 

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Que ce soit en Belgique, en Suisse, en France, aux Pays-Bas ou encore en Italie, l’Islam est vécu par certains comme problématique, et cause de tous les maux de la société. Depuis le 11 septembre 2001, on n’entend plus que ça : l’Islam opprime les femmes, l’Islam produit des terroristes, l’Islam est rétrograde et intolérant, etc. Le rejet et la peur de l’Islam se sont répandus dans la population des pays occidentaux. Et lorsque G. Bush a déclaré qu’il mènerait une « croisade » contre les « Forces du Mal », pour justifier la guerre en Irak, le malaise s’est encore aggravé, de part et d’autre. La propagande, les manipulations politiques, l’intransigeance laïciste et l’ignorance sont les grands responsables de cette situation. En Belgique, comme en France et ailleurs en Europe, le débat autour du port du foulard a agité tous les milieux, prenant une place centrale dans le dialogue interculturel, comme si l’Islam se limitait à cela. On assiste souvent à une caricature de l’Islam qui témoigne d’une profonde méconnaissance de ce qu’est réellement le monde musulman dans sa diversité, dans sa capacité d’adaptation au monde moderne et dans ses nombreux points communs avec le Christianisme et le Judaïsme. A travers un bref tour d’horizon, cet article questionne les différentes positions à l’égard des musulmans dans cinq pays de l’Union. Et si ce n’était pas l’Islam qui posait problème, mais notre manière de le voir ?

 

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Il y a 60 ans, en 1951, était créée la Convention de Genève relative au statut des réfugiés. Celle-ci fut signée par 150 États afin de ne plus jamais être confronté aux horreurs connues lors de la seconde guerre mondiale et a permis, depuis, à des millions d’êtres humains de jouir d’une protection juridique leur permettant de fuir la persécution et d’envisager un avenir meilleur hors de leur pays d’origine. Cependant, à l’heure actuelle, une situation paradoxale s’est dangereusement mise en place. D’une part notre monde actuel connaît de nombreux bouleversements sociaux tels que les révolutions arabes qui appellent à des déplacements de masse des populations, tandis que dans un même temps, l’Europe tend à devenir une véritable forteresse. Le droit à la protection pour tous les réfugiés en Europe est aujourd’hui un leurre. Afin de faire le point sur les défaillances du système européen actuel en matière d’asile et sur les moyens que les pays européens sont prêts à mettre en œuvre pour y remédier, nous partirons du cas de la Grèce. Ceci nous permettra de nous rendre compte des luttes de pouvoir qui se jouent entre les pays européens en matière d’asile, luttes de pouvoir dont les premières victimes sont les demandeurs d’asile.

     

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Couverture Analyses et Etudes ;Quel type d'intégration pour les primo-arrivants en Belgique?;Couverture Analyses et Etudes ;La prise en charge des détenus déficients mentaux;

 

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De tous temps, les crises ont provoqué des replis identitaires, et la crise économique actuelle n’échappe pas à la règle. On nous assène que l’immigration est un fléau qu’il convient d’endiguer avec résolution, et l’étranger a tôt fait de se muer en bouc émissaire. Une partie conséquente de l’opinion publique fait parler ses préoccupations, et l’ensemble des dirigeants approuve et adopte de nouvelles règles, avec entrain qui plus est, venant restreindre encore davantage les possibilités d’accéder au territoire où d’y régulariser sa situation. On y met tellement de volonté et d’enthousiasme, qu’on en oublie que la Belgique est un État de droit dont les règles n’ont pas vocation à revêtir un caractère géométriquement variable. C’est ainsi que le législateur, entendant les « voix de plus en plus nombreuses » du peuple belge, a cru bon d’apporter des modifications aux règles relatives au regroupement familial, par une loi du 8 juillet 2011. Cette loi, entrée en vigueur le 22 septembre 2011, n’a pas manqué de laisser les praticiens perplexes, voire carrément inquiets.

 

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 La République Démocratique du Congo vient de connaître un moment fort important de sa vie politique, à savoir la tenue, en date du 28 novembre 2011, du scrutin présidentiel et législatif. Suivant la Constitution congolaise du 18 février 2006, l’élection présidentielle devait se dérouler en deux tours. Dans une communication d’août 2010, la Commission électorale indépendante annonça le scrutin présidentiel pour les 27 novembre 2011 puis 26 février 2012. Le 15 janvier 2011, sur l’initiative du Président Joseph Kabila, le Parlement congolais (Chambres haute et basse) procéda à la révision de cette disposition. L’élection présidentielle devrait se dérouler à majorité simple, lors d’un seul tour, au lieu d’une élection à deux tours, avec majorité absolue. Le 30 avril 2011, la Commission Nationale Électorale Indépendante annonça finalement que l’unique tour du scrutin présidentiel se tiendrait le lundi 28 novembre 2011, en même temps que les élections législatives. Il va de soi qu’un tel changement dans le mode de scrutin présidentiel combiné avec d’autres griefs formulés dont entre autres la falsification du fichier électoral, laissait entrevoir une préparation du pouvoir en place à la réalisation de la fraude électorale. Effectivement, lors de la proclamation des résultats du scrutin présidentiel en date du 9 décembre 2011, la fraude électorale tant redoutée sera dénoncée aussi bien par une partie de la classe politique et de la société civile congolaise que par quelques observateurs internationaux…

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?

Après deux mandats présidentiels, le chef d’État colombien Alvaro Uribe Velez a cédé sa place le 7 août 2010 à celui qui a été son ministre de la défense pendanttrois années, Juan Manuel Santos. Ce dernier a en effet été élu le 20 juin avec 69,05 % des voix. Si la venue d’un nouvel homme à la tête de l’État peut être synonyme de changement, ici il n’en est rien. Fervent admirateur de la politique d’Uribe, Santos a décidé de marcher sur les pas de son prédécesseur et de continuer à promouvoir la politique dite de sécurité démocratique. Ceci au grand bonheur du président sortant. Mais la perspective de la continuation de la politique uribiste est-elle vraiment de bon augure pour le peuple colombien et les relations internationales ?